La belle rumbera Maria Antonia gagne sa vie en dansant pour payer sa ferme. Une nuit
elle tombe amoureuse de Fernando, un marin de passage à qui elle se donne pour sa
dernière nuit au port. Il quitte Veracruz avec la promesse de revenir. Maria Antonia qui
attend un enfant de Fernando, quitte le cabaret. Un soir, elle s’évanouit sous la pluie. Son voisin Miguel Hernández la soigne et devient le parrain de Laurita à sa naissance. Quatre ans après, n’ayant plus de nouvelles de Fernando, Maria Antonia accepte d’épouser Miguel. Mais le lendemain elle reçoit une lettre de Fernando lui expliquant son absence: sa mère l’a contraint d’épouser une fille qu’il avait laissée enceinte. Bouleversée, Maria Antonia se jette du haut d’une falaise. Vingt ans plus tard, Laurita est devenue une célèbre danseuse, élevée par »l’oncle » Miguel et Mercedes, la fidèle amie de sa mère défunte. Laurita se rend à Guadalajara a fin de connaître la mère de son fiancé Arturo. Mais celle-ci refuse de la rencontrer. Arturo la présente alors à son père qui n’est autre que Fernando. Il reconnaît Laurita et leur révèle la vérité. Laurita rentre à Veracruz et retourne aux falaises. Arturo la poursuit pour lui annoncer que Fernando n’est pas en réalité son père.
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En carne viva
de Alberto GOUT
- Mexique
- 1950
- Fiction
- Noir & Blanc
- 89′
- Espagnol
- 35 mm
- Titre français
En carne viva - Titre international
En carne viva - Scénario
Alberto Gout - Photo
Agustín Jiménez - Montage
Alfredo Rosas Priego - Musique
Rosalîo Ramîrez, Juan Bruno Tarrara, Amador Pérez, Armando González, Rafaél Hernández - Interprétation
Rosa Carmina, Dagoberto Rodrîguez, Crox Alvarado, Ruben Rojo, José Maria Linares Rivas, Carlos Rodríguez, Tona la Negra. - Production
Producciones Rosas Priego - Support de projection
35 mm