Dans le Bangkok d’aujourd’hui. Pu, jeune femme en rupture de société, rêve de sa mère décédée. Dans ce rêve récurrent, elle voit sa mère en train de construire une maison. Un jour, Pu rencontre un diseur de bonne aventure qui lui dit que si le rêve continue, son père mourra lorsque la maison sera achevée. Son père, un playboy, est un habitué des karaokés. Il passe toutes ses soirées dans son karaoké favori où il chante, se soûle et se donne du bon temps avec les femmes. Dans ce bar, il fait la connaissance de Yok, une femme à l’image de ses fantasmes. Yok est une femme de la nuit, une femme de luxe qui « appartient »‘ à Toeng, jeune mafioso chinois poli et à la voix douce, toujours entouré de six ou sept tueurs. Noï est le plus jeune d’entre eux, mi-Thaïlandais, mi- Européen. Il est l’héritage laissé par un soldat américain ayant pris du bon temps avec une Thaïlandaise pendant la guerre. Il rêve d’économiser assez d’argent et d’apprendre assez d’anglais pour aller en Amérique (peut-être pour y retrouver son père, qui sait…). Noï est l’un des habitués d’une supérette du quartier fermant tard le soir, où Pu vient traîner avec sa seule amie. Noï tombe amoureux de Pu mais n’ose pas lui demander de sortir avec lui. Pu ne peut s’empêcher de rêver de la maison, tandis que la liaison de son père avec Yok ne lui apporte que la malchance.
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Fun Bar Karaoke
(Fun Bar Karaoke)
- Thaïlande
- 1996
- Fiction
- Couleur
- 100′
- 35 mm
- Titre français
Fun Bar Karaoke - Titre original
Fun Bar Karaoke - Titre international
Fun Bar Karaoke - Scénario
Pen-ek ratanaruang - Photo
Chankit Chamnivikaïpong - Montage
Patamanadda yukol, andrian Brady - Musique
Armornpong Methakunna - Interprétation
Ray Macdonald, Paibuljkiat Kheokao, Fay assawase - Support de projection
35 mm