La Havane, 1994. Un jeune couple tente de vivre une histoire d’amour qui soit, en même temps, l’histoire de leur amour pour leur ville.
« Dans une île, il y a la présence inévitable de la mer ; c’est la première et la dernière des expériences. La Ola est né de cette émotion : La Ola, c’est la blancheur, ce qui lave notre mémoire, ce qui va et vient; la vague récurrente qui nous entoure et nous berce. Ma ville est caressée et détruite par les vagues. Les îliens ne connaissent pas d’autre sort, à jamais tenus entre le désespoir et l’accomplissement. L’illusion est contenue dans ce qu’on a quitté ou dans ce qui nous attend. On ne peut échapper à soi-même. »
Enrique Alvarez