Entre fiction et documentaire, adapté du roman largement autobiographique de Jean Pélégri, Les oliviers de la justice, qui met en scène un pied-noir de retour au pays au chevet d’un père à l’agonie, ressuscite l’image du père de l’auteur et son rêve algérien. Tourné aux tout derniers mois de la guerre d’Algérie dans les plaines de la Mitidja et les rues d’Alger, avec des acteurs non professionnels pour la plupart, ce film témoigne à sa manière de la fin de l’Algérie coloniale.