Il a été pendant toute une période le symbole même du cinéma mexicain, dont Maria Candelaria au lendemain de la guerre révélait les voies nouvelles au premier festival de Cannes. Fernandez a connu une existence difficile et mouvementée, qui lui donnait un atout majeur pour réaliser des films sociaux. Compagnon de Pancho Villa Fernandez, il a été mêlé très jeune aux évènements révolutionnaires. Blessé et prisonniers, il s’évade et se réfugie aux Etats-Unis où il fit toutes métiers. Les funérailles somptueuses de Rudolf Valentino lui donnèrent dit-on l’envie de devenir acteur et la Warner l’engagea pour doubler les vedettes dans les épisodes dangereux. Après 1933, il revint au Mexique pour mener une vie difficile et tourna enfin son premier film inconnu en France, « La isla de la pasion ». C’est sa deuxième oeuvre, « Soy puro mexicano » qui le lança véritablement.
Emilio FERNÁNDEZ
Réalisateur·trice, Scénariste
Films programmés au Festival
Bugambilia
(Bugambilia)
(Bugambilia)
de Emilio FERNÁNDEZ
Dieu est mort
(The Fugitive)
(The Fugitive)
de John FORD, Emilio FERNÁNDEZ
Enamorada
(Enamorada)
(Enamorada)
de Emilio FERNÁNDEZ
L’Ouragan
(Flor silvestre)
(Flor silvestre)
de Emilio FERNÁNDEZ
La Perla
(La Perla)
(La Perla)
de Emilio FERNÁNDEZ
La Villageoise
(Pueblerina)
(Pueblerina)
de Emilio FERNÁNDEZ
Le Filet
(La Red)
(La Red)
de Emilio FERNÁNDEZ
Les Abandonnées
(Las abandonadas)
(Las abandonadas)
de Emilio FERNÁNDEZ
Maclovia
(Maclovia)
(Maclovia)
de Emilio FERNÁNDEZ
María Candelaria
(María Candelaria)
(María Candelaria)
de Emilio FERNÁNDEZ
Quartier interdit
(Victimas del Pecado)
(Victimas del Pecado)
de Emilio FERNÁNDEZ
Salon Mexico
(Salon Mexico)
(Salon Mexico)
de Emilio FERNÁNDEZ